Par Alice Vandenbroucke
Les femmes évoquent dans la pièce la recherche continuelle d’identité par rapport à leur famille. Ici, c’est le choix de la loyauté avant tout. Le sens du sacrifice familial l’emporte sur le sacrifice personnel.
Par Alice Vandenbroucke
La troupe photographiée avant la représentation du 30 octobre 2015 à l’Espace Toots d’Evere. De gauche à droite : Maher Fatima, Khelifa Souad, Benjelloun Nabila, Chourouhou Khadija, Belkaïd Khadija, Ismael Tanga-Rifino, Bougdim Oumayma, Mezraui Fadila, Mabrouki Warda.
Par Alice Vandenbroucke
La majeure partie de l’histoire se déroule dans une cuisine. L’un des personnages tient un service traiteur. Sucre et fleur d’oranger font référence à ses pâtisseries. Venin représente les disputes entre les différentes générations. Tout au long de l’histoire, elles se disent leurs quatre vérités.
Par Alice Vandenbroucke
La solidarité entre ces femmes est omniprésente. Le théâtre leur a permis de s’exprimer, et parfois de partager des moments forts et intimes. C’est ce qui fait la force de cette troupe.
Par Alice Vandenbroucke
La troupe aimerait que la pièce soit reconnue comme étant d’utilité publique. Celle-ci lève des tabous de la communauté musulmane avec délicatesse et humour. Le but est d’ouvrir le débat et d’interpeller les politiques sur des sujets complexes.
Par Alice Vandenbroucke
Souad tricote pendant les répétitions. Elle montre à Khadija ce qu’elle confectionne pour sa petite fille sur le point de naitre.
Par Alice Vandenbroucke
En répétition au Brocoli Théâtre à Saint-Josse.
Par Alice Vandenbroucke
Avant de monter sur scène.
Par Alice Vandenbroucke
« Le 11 avril 2012, à une heure de grande audience, fut diffusée sur une chaine de télévision publique une émission au titre racoleur de : 'Faut-il avoir peur de l’Islam'. Alors que nous avions guidé le réalisateur et ses journalistes dans nos quartiers, nos associations, nos familles… Alors que pendant plusieurs jours, ces messieurs ont filmé et interviewé des hommes et des femmes des trois générations parfaitement intégrées, nous fumes surprises de voir, le soir de la diffusion, que rien de tout cela n’a été évoqué à la télévision. A la poubelle, les exemples positifs, les parcours de vie singuliers ! Seuls les appels à la haine d’un Imam extrémiste, que par ailleurs nous dénonçons, ont eu droit de cité. Nous ne voulons plus de ce genre d’amalgames ».
Extrait de la pièce ‘Sucre, venin et fleur d’oranger’ de Malika Madi.
Par Alice Vandenbroucke
À la sortie d’une répétition, Malika, Nabila et Fadila se dirigent vers le métro.
Par Alice Vandenbroucke
Petite pause beauté durant les répétitions.
Par Alice Vandenbroucke
Un public très réceptif à la pièce.