Depuis vendredi 2 octobre, c’est à Namur, dans la Vallée de la Sambre et de la Meuse, que s’est donné rendez-vous la crème de la crème du cinéma francophone. Durant huit jours, un Chorus composé d’acteurs, de réalisateurs, d’équipes techniques, d’organisateurs, de bénévoles… et surtout de spectateurs, a pris place dans les rues et salles obscures de la capitale wallonne pour assister au Festival international du film francophone.
Un jury d’Être chers
C’est à quelques pas de la Citadelle, l’autre Montagne magique du FIFF, que le cinéma Eldorado, la maison de la Culture et le Palais des Congrès accueillent les quinze longs métrages présentés dans la compétition officielle. À l’issue du festival, l’un d’eux se verra remettre le prestigieux Bayard d’Or par un jury d’Êtres chers au FIFF. Le jury est présidé par un Namurois, Olivier Gourmet, que le festival met à l’honneur en lui souhaitant un chaleureux Welcome Home.
Parallèlement à la compétition officielle, des productions venant d’Europe, d’Amérique du Nord mais aussi du Maghreb ou du Liban, de tous les Horizontes donc, seront à découvrir par les cinéphiles.
Tempête sur les écrans
De nombreuses personnalités sont attendues sur le tapis rouge, dont le coup de cœur de cette édition anniversaire, l’actrice et chanteuse Vanessa Paradis. Née en Île-de-France, la presque Parisienne sera présente pour une rencontre le vendredi 9 octobre.
Le beau temps a été jusqu’ici de la partie mais il y aura bien une Tempête sur les écrans, annoncée pour plusieurs productions, à découvrir tout spécialement en salles les 8 et 9 octobre.
8.000 petits Apaches
Le FIFF est aussi dédié à l’Enfance et à la jeunesse, notamment grâce au jury junior. Les petites tribus, composées au total de 8.000 Apaches de Namur et d’ailleurs, seront mises à contribution à travers de nombreuses activités organisées par le FIFF Campus.
Pendant une semaine, des milliers de festivaliers sont attendus pour (re)découvrir le cinéma francophone. Un accueil qui devrait se faire sans Vanité.