première bombe Tout commence bien quelque part « Il fallait que je le fasse seule, que je n’écoute personne »

elle et le regard des autres

Graffi ou girl ?

 

la frontière entre la femme et la graffeuse

« Tu peux suivre la recette ou faire celle qui te plaît »

            nthea Missy a un univers bien à elle. Très coloré et vraiment fun. Ses dessins se
            distinguent dans leurs genres jusqu’aux courbes de ses peintures. Tout cela a été
            imaginé dans un coin de sa tête, faisant l’originalité du style de la jeune femme.

 

Elle constate que dans la société actuelle, la plupart des gens se conduisent selon un certain canevas. Ils suivent les règles imposées par d’autres. « Chez les artistes, malgré quelques contraintes, nous n’avons pas toutes ces normes », explique-t-elle. Selon elle, les artistes ont leurs propres codes.

 

Les règles ne sont donc pas la priorité de la jeune graffeuse. Elle compare sans hésiter les attitudes du quotidien à un gâteau : « Tu peux suivre la recette ou faire celui qui te plaît ». Anthea a choisi de cuisiner un gâteau qui lui correspond. Son art a une grande importance dans sa vie depuis quelques années. Elle a désormais réellement l’impression de vivre à travers lui. Naturellement, cela influence ses choix dans la vie de tous les jours.

 

A

de la féminité au street art

 

quelle importance accorde l'artiste a sa féminité ?

En 2009, 
l’artiste tchèque 
Sany 
réalise un documentaire exclusivement consacré 
à la place de la femme dans le graffiti
« Il n’y a pas à avoir l’air d’un camionneur ou avoir l’air plus masculine pour être crédible » femmes vandales la position de l'artiste sur l'illégalité dans le graffiti

trait pour trait

 

l'inspiration et le style de l'artiste

Shamsia Hassani 
dénonce 
la condition de la femme 
dans son pays. Elle est considérée comme la première street artiste 
afghane.

dessine l'avenir

 

a quoi la graffeuse aspire-t-elle ?

 nthéa Missy n'a pas encore la moindre idée de ce que l'avenir lui réserve. Le graffiti, 
 c'est son dada et ne voit pas de raisons qui pourrait la faire arrêter. Elle compare la
 peinture en extérieur à de la méditation, qui la connecte avec son environnement. La vie se sent, d'après elle. Graffer, c'est également son défouloir. « Le graffiti est un bon moyen d'expression », déclare-t-elle. La peinture lui permet de dire des choses plus facilement qu'en paroles. Avoir la volonté de s'exprimer, de peindre, reste primordial et elle rajoute : « Garder son coeur d'enfant est aussi important pour moi ». Anthea ne pense pas être en mesure de donner des conseils sur ce que devraient faire les femmes dans le milieu. Elle souligne cependant le manque d'enthousiasme quant à l'art féminin en général. « C'est la société qui est comme ça », regrette la jeune femme. Elle est d'avis de dire que si les femmes s'intéressent de plus en plus au graffiti, c'est parce que cette pratique est passée du vandalisme à l'art. Le seul conseil qu'Anthéa s'autorise à donner est de faire ce que l'on ressent. « Il faut rester fidèle à soi-même, aller dans l'originalité et n'écouter personne », conclut-elle. A
Le graffiti est un art qui est fait pour être éphémère
faisons le mur!
femmes vandales la position de l'artiste sur l'illégalité dans le graffiti
première bombe Tout commence bien quelque part « Il fallait que je le fasse seule, que je n’écoute personne »
A
 nthéa Missy n'a pas encore la moindre idée de ce que l'avenir lui réserve. Le graffiti, 
 c'est son dada et ne voit pas de raisons qui pourrait la faire arrêter. Elle compare la
 peinture en extérieur à de la méditation, qui la connecte avec son environnement. La vie se sent, d'après elle. Graffer, c'est également son défouloir. « Le graffiti est un bon moyen d'expression », déclare-t-elle. La peinture lui permet de dire des choses plus facilement qu'en paroles. Avoir la volonté de s'exprimer, de peindre, reste primordial et elle rajoute : « Garder son coeur d'enfant est aussi important pour moi ». Anthea ne pense pas être en mesure de donner des conseils sur ce que devraient faire les femmes dans le milieu. Elle souligne cependant le manque d'enthousiasme quant à l'art féminin en général. « C'est la société qui est comme ça », regrette la jeune femme. Elle est d'avis de dire que si les femmes s'intéressent de plus en plus au graffiti, c'est parce que cette pratique est passée du vandalisme à l'art. Le seul conseil qu'Anthéa s'autorise à donner est de faire ce que l'on ressent. « Il faut rester fidèle à soi-même, aller dans l'originalité et n'écouter personne », conclut-elle. A
« Tu peux suivre la recette ou faire celle qui te plaît »
En 2009, 
l’artiste tchèque 
Sany 
réalise un documentaire exclusivement consacré 
à la place de la femme dans le graffiti
« Il n’y a pas à avoir l’air d’un camionneur ou avoir l’air plus masculine pour être crédible »
Shamsia Hassani 
dénonce 
la condition de la femme 
dans son pays. Elle est considérée comme la première street artiste 
afghane.
Le graffiti est un art qui est fait pour être éphémère
faisons le mur!
femmes vandales la position de l'artiste sur l'illégalité dans le graffiti
première bombe Tout commence bien quelque part « Il fallait que je le fasse seule, que je n’écoute personne »
A
 nthéa Missy n'a pas encore la moindre idée de ce que l'avenir lui réserve. Le graffiti, 
 c'est son dada et ne voit pas de raisons qui pourrait la faire arrêter. Elle compare la
 peinture en extérieur à de la méditation, qui la connecte avec son environnement. La vie se sent, d'après elle. Graffer, c'est également son défouloir. « Le graffiti est un bon moyen d'expression », déclare-t-elle. La peinture lui permet de dire des choses plus facilement qu'en paroles. Avoir la volonté de s'exprimer, de peindre, reste primordial et elle rajoute : « Garder son coeur d'enfant est aussi important pour moi ». Anthea ne pense pas être en mesure de donner des conseils sur ce que devraient faire les femmes dans le milieu. Elle souligne cependant le manque d'enthousiasme quant à l'art féminin en général. « C'est la société qui est comme ça », regrette la jeune femme. Elle est d'avis de dire que si les femmes s'intéressent de plus en plus au graffiti, c'est parce que cette pratique est passée du vandalisme à l'art. Le seul conseil qu'Anthéa s'autorise à donner est de faire ce que l'on ressent. « Il faut rester fidèle à soi-même, aller dans l'originalité et n'écouter personne », conclut-elle. A
« Tu peux suivre la recette ou faire celle qui te plaît »
En 2009, 
l’artiste tchèque 
Sany 
réalise un documentaire exclusivement consacré 
à la place de la femme dans le graffiti
« Il n’y a pas à avoir l’air d’un camionneur ou avoir l’air plus masculine pour être crédible »
Shamsia Hassani 
dénonce 
la condition de la femme 
dans son pays. Elle est considérée comme la première street artiste 
afghane.
Le graffiti est un art qui est fait pour être éphémère
faisons le mur!
femmes vandales la position de l'artiste sur l'illégalité dans le graffiti
première bombe Tout commence bien quelque part « Il fallait que je le fasse seule, que je n’écoute personne »
A
 nthéa Missy n'a pas encore la moindre idée de ce que l'avenir lui réserve. Le graffiti, 
 c'est son dada et ne voit pas de raisons qui pourrait la faire arrêter. Elle compare la
 peinture en extérieur à de la méditation, qui la connecte avec son environnement. La vie se sent, d'après elle. Graffer, c'est également son défouloir. « Le graffiti est un bon moyen d'expression », déclare-t-elle. La peinture lui permet de dire des choses plus facilement qu'en paroles. Avoir la volonté de s'exprimer, de peindre, reste primordial et elle rajoute : « Garder son coeur d'enfant est aussi important pour moi ». Anthea ne pense pas être en mesure de donner des conseils sur ce que devraient faire les femmes dans le milieu. Elle souligne cependant le manque d'enthousiasme quant à l'art féminin en général. « C'est la société qui est comme ça », regrette la jeune femme. Elle est d'avis de dire que si les femmes s'intéressent de plus en plus au graffiti, c'est parce que cette pratique est passée du vandalisme à l'art. Le seul conseil qu'Anthéa s'autorise à donner est de faire ce que l'on ressent. « Il faut rester fidèle à soi-même, aller dans l'originalité et n'écouter personne », conclut-elle. A
« Tu peux suivre la recette ou faire celle qui te plaît »
En 2009, 
l’artiste tchèque 
Sany 
réalise un documentaire exclusivement consacré 
à la place de la femme dans le graffiti
« Il n’y a pas à avoir l’air d’un camionneur ou avoir l’air plus masculine pour être crédible »
Shamsia Hassani 
dénonce 
la condition de la femme 
dans son pays. Elle est considérée comme la première street artiste 
afghane.
Le graffiti est un art qui est fait pour être éphémère
faisons le mur!
« Il fallait que je le fasse seule, que je n’écoute personne »
A
 nthéa Missy n'a pas encore la moindre idée de ce que l'avenir lui réserve. Le graffiti, 
 c'est son dada et ne voit pas de raisons qui pourrait la faire arrêter. Elle compare la
 peinture en extérieur à de la méditation, qui la connecte avec son environnement. La vie se sent, d'après elle. Graffer, c'est également son défouloir. « Le graffiti est un bon moyen d'expression », déclare-t-elle. La peinture lui permet de dire des choses plus facilement qu'en paroles. Avoir la volonté de s'exprimer, de peindre, reste primordial et elle rajoute : « Garder son coeur d'enfant est aussi important pour moi ». Anthea ne pense pas être en mesure de donner des conseils sur ce que devraient faire les femmes dans le milieu. Elle souligne cependant le manque d'enthousiasme quant à l'art féminin en général. « C'est la société qui est comme ça », regrette la jeune femme. Elle est d'avis de dire que si les femmes s'intéressent de plus en plus au graffiti, c'est parce que cette pratique est passée du vandalisme à l'art. Le seul conseil qu'Anthéa s'autorise à donner est de faire ce que l'on ressent. « Il faut rester fidèle à soi-même, aller dans l'originalité et n'écouter personne », conclut-elle. A
« Tu peux suivre la recette ou faire celle qui te plaît »
femmes vandales la position de l'artiste sur l'illégalité dans le graffiti
première bombe Tout commence bien quelque part
En 2009, 
l’artiste tchèque 
Sany 
réalise un documentaire exclusivement consacré 
à la place de la femme dans le graffiti
« Il n’y a pas à avoir l’air d’un camionneur ou avoir l’air plus masculine pour être crédible »
faisons le mur! Shamsia Hassani 
dénonce 
la condition de la femme 
dans son pays. Elle est considérée comme la première street artiste 
afghane.
Le graffiti est un art qui est fait pour être éphémère