Le prix Format Court
Le prix Format Court a été décerné au court-métrage Renaître du Jean-François Ravagnan. Le jury, représenté par Marie Bergeret, l’a désigné comme un « instantané cinématographique où l’on ressent l’urgence du désir comme réponse ultime à une séparation inéluctable ». Le réalisateur se voit dès lors offrir un focus sur le site Format court, mais aussi l’achat et la diffusion de son film lors d’une soirée au studio des Ursulines à Paris. Il aura également droit à la création d’un dossier de presse, qui inclura un reportage, une critique et une interview.
Le prix BeTV

Laurent Scheid, récompensé par BeTV, aux côtés de Cathy Immelen, animatrice de la soirée et voix de la RTBF.
Le réalisateur Laurent Scheid a quant à lui hérité du prix BeTV pour son court-métrage intitulé Tout va bien. Le prix consiste en l’achat des droits de diffusion du court-métrage pour la somme de 1.500 euros.
Le prix Arte
Le jury du prix Arte a salué le talent de Juliette et Thomas, jeunes étudiants de l’IAD (Institut des arts de diffusion) pour leur court-métrage Nelson. Les réalisateurs en herbe voient ainsi les droits d’auteur de leur film achetés par Arte pour 550 euros la minute, soit 6.050 euros pour l’ensemble de l’œuvre. Le court-métrage sera diffusé dans « Court-Circuit », le magazine réputé d’Arte, rendez-vous hebdomadaire des fans de court-métrages.
Le prix de la critique
Le long-métrage Keeper de Guillaume Senez a été récompensé par le prix de la Critique, remis conjointement par l’UCC (Union de la critique cinéma) et l’UPCB (Union de la presse cinématographique belge). « C’est un film qui nous emmène vers un thème rarement exploité dans les longs métrages. Il a su diriger subtilement les acteurs, il y a des nuances dans la construction du scénario. Un film très classique mais sincère, qui pose les bonnes questions », a précisé le jury. Le réalisateur belge reçoit ainsi un chèque de 500 euros.
Le prix Cinevox
Le prix Cinevox, présidé par Cathy Immelen, a clos la soirée en offrant une semaine de diffusion d’un spot promotionnel pour le long-métrage Je me tue à le dire de Xavier Seron. « On a été secoués par son humour décalé, des situations assez rocambolesques, des dialogues fulgurants, des belles images et une utilisation originale du noir et blanc », a justifié le jury.